Positiver, être optimiste, voir le verre à moitié plein, des dictons qui, aujourd’hui, se transforment en obligation. Les médias et les réseaux sociaux poussent l’optimisme à l’extrême en occultant parfois les émotions négatives.
Osez la sophrologie … pour accueillir ces émotions et stopper cette dictature du bonheur
La tyrannie du bonheur
L’injonction au bonheur est partout, des médias traditionnels aux réseaux sociaux. Cette dictature du bien-être place l’individu comme étant le seul responsable de son bonheur ou comment la culture du « développement personnel » qui s’est fortement propagée ces dernières années, devient une obligation. La quête d’être « une meilleur personne » vire malencontreusement au narcissisme, car il faut être plus heureux que son voisin. Une vision qui sous-entend que le bonheur est une fin, un objectif lié à un travail sur soi. Si la personne connait un malheur, elle est donc dans l’échec et seule responsable de sa situation. Une tendance, qui à la base, se voulait positive engendre frustration et culpabilité de ne pas être suffisamment heureux. Alors la sophrologie effrite ce mythe du « bonheur à tout prix » en aidant ceux qui ont du mal à accepter leurs émotions négatives !
Quand la sophrologie brise l’injonction au bonheur
Rejeter ses émotions, refouler le négatif et nier ses sentiments, voilà l’impact d’une telle tendance. La sophrologie est une alliée pour celles et ceux désirant retrouver un équilibre et dire stop aux effets néfastes de cette « course au bonheur ». En effet, bien que la méthode se focalise sur le positif, elle ne fait jamais l’impasse sur les émotions de l’individu. Un accompagnement personnalisé vous aidera à vous mettre à l’écoute de vos ressentis réels pour ainsi, mieux accueillir vos sentiments.
La sophrologie pour lâcher-prise, apprendre à ne plus se comparer aux autres et surtout à ne plus culpabiliser de ne pas « réussir à être heureux »